En 2011
les compte-rendus des conseils municipaux n'ont pas été disponibles
a la mairie. C'est mal et cela enfreint la loi. En outre, en 2009, le
Conseil a vote a l’unanimité de distribuer les compte-rendus après
chaque réunion. Les résidents de notre belle commune
devraient s’inquiéter. Notre présence a la réunion du conseil
municipal du 2 septembre, le démontre encore une fois. On pourrait
dire que cette réunion a été une démonstration de la faiblesse de
notre administration locale, mettant en évidence un manque total de
direction gouvernementale, d' autorité et de respect mutuel.
Des
résidents se sont plaints de nuisance sonores a Valquières. La
police a été alertée et des rapports de gendarmerie ont été
établis. Le maire a affirme qu'il n'y avait virtuellement aucun
problème et qu'on ne pouvait rien faire. Le sujet a fait l'objet
d'un débat. Que ces plaintes soient justifiées ou non, elles n'ont
pas été prises au sérieux.
Le second point débattu
concernait la question du droit de pré-emption dont la maison
Blanchy aurait pu être l'objet. Le maire a justifie le fait que
cette option avait été considérée (mais ne pouvait légalement
avoir lieu) avec les arguments suivants: - la nécessite
d'agrandir le cimetière a l'avenir, - la possibilité de bâtir
une nouvelle maison, - enfin, la construction d'une nouvelle
mairie, puisque la mairie actuelle n'est pas, pour le moment,
accessible aux handicapes. L'acheteur avait déjà
envoyé une lettre a tous les conseillers municipaux, leur indiquant
qu'il coopérerait a l'expansion du cimetière en temps voulu. Donc,
cette question ne posait plus de problème et ce premier argument
pouvait être ecarte. Plusieurs membres du public qui
étaient présents ont mis en évidence des conflits d’intérêts
supposes qui impliqueraient le maire, et dans les rangs du public
certains ont émis des doutes concernant l’état mental du maire
qui proposait une mairie toute neuve. D'autre part, il
semble que de possibles menaces envers l'acheteur aient été
proférées, fait qui a été enregistre a la Gendarmerie. La
proposition du maire n'a pas fait l'objet d'un vote.
L'implantation de 30 éoliennes sur la commune. A pressent que le parc
photovoltaïque a apparemment ete annule, le maire a propose
l’érection de 30 éoliennes 'quelque part' sur le périmètre de
la commune. L'argument en faveur de ce projet est qu'il est estime
qu'il contribuera aux finances de la commune une somme,
doublant ainsi le budget municipal. Curieusement, depuis
l'implantation des éoliennes existantes, apparemment, très peu de
revenu supplémentaire est venu a l'aide du budget municipal tandis
qu'a Dio, comme cela avait été prévu, les résidents se
plaignent du bruit. Il n'est pas clair ou les 30
éoliennes seraient placées et quand deux membres du Conseil ont
demande des détails supplémentaires avant de décider s'ils
seraient pour ou contre, on leur a rétorque: "c'est simple,
vous étés pour ou contre". Pas exactement une attitude
démocratique de la part du maire! Le public, lui, savait exactement
ou les 30 éoliennes seraient installées. Sur le mémé terrain que
le parc photovoltaïque qui n'a pas abouti, qui est, en partie, la
propriété de notre maire. Clairement, un conflit d’intérêts.
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Cette proposition du maire, finalement, n'a pas fait l'objet d'un
vote.
Âpres quoi, la question des nuisances sonores a été remise a l'ordre du
jour. Au lieu de prendre ces plaintes au sérieux et d'essayer d'estimer
si elles étaient justifiées, le maire a refuse d'agir. Et pourtant, ces
plaintes étaient répétées par les conseillers municipaux aussi bien que
par le public. Mais non, le maire a persiste a blâmer certains, et a
dire a ceux qui se plaignaient combien ils avaient tort. La réunion a
alors dégénère en chaos.
On n'acquiert pas l’autorité simplement en occupant un certain poste,
mais elle résulte des qualités personnelles, du comportement et de
l’œuvre accomplie de la personne 'au pouvoir'. L’autorité ne peut
exister que si cette autorité est aussi reconnue et soutenue par la
grande majorité des résidents.
Le comportement du maire et de son conseil municipal n'inspire pas de
respect pour son autorité. C'est dans une situation comme celle-ci que
commence l'anarchie, et ce processus se développe librement en ce
moment a Valquières. Tous les signes y sont manifestes. Cette anarchie
suppose une compétition permanente sous-jacente ("je vais y gagner
quelque chose; tu y perdras). Les résidents vont agir aussi de leur
cote, parce qu'ils doivent se débrouiller tout seuls, pour se protéger,
eux-mêmes, leurs propriétés et leurs intérêts.
Le maire peut se servir de son pouvoir pour agir, et les risques d'abus
sont importants. Presque tout le Conseil municipal soutient sans
réservation, sans critiques, sans fournir d' alternatives - plans,
propositions ou idées -, aux projets proposes par le maire. Les
résidents qui ont de l'initiative, des ressources et la capacité a
contribuer a la vie du village sont obliges de faire cavalier seul pour
essayer d'atteindre leur but. Les droits et le respect pour les
concitoyens sont violes et leurs droits et égalité devant la loi sont
en danger. Nous avons alors la loi de la jungle.
Les résidents les plus faibles et les plus vulnérables ne peuvent que
résister et se servir de toutes les avenues qui restent dans le cadre
de la loi dans l'espoir de recevoir de l'aide d'une autorite
supérieure. C'est ce qui se passe a pressent a cause du manque total
d’autorité. Récemment, la Gendarmerie a reçu des plaintes concernant des activités
contraires a la vie normale d'un village, plaintes qui auraient du être
traitées au sein du village, s'il y avait eu une autorité indépendante
locale. Le mot 'communauté' est un mot vide de sens et la cohésion sociale est
en train de se désintégrer a Valquières, a cause de conflits qui
n'auraient jamais du se produire.
Il est très regrettable de constater que, a cause de l’incompétence du
Conseil municipal et de l’indifférence de quelques résidents, notre
village est en train de tomber dans une triste situation. Une des causes de cette situation semble etre le maire qui, de plus en
plus, donne l'impression que son intérêt personnel passe avant
l’intérêt général.
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